Encore Véolia? Impossible, hélas, d'oublier Véolia-Environnement qui apparaît à tous les carrefours du paysage économique et politique! ATTAC Cergy nous signale un document, particulièrement éclairant, que nous n'hésitons pas à porter à la connaissance de tous.
Un rapport a été publié, en effet, le 17 décembre 2008, par le « Corporate Europe Observatory » sur Véolia Environnement et ses activités de lobbying dans le secteur de l’eau :
On peut trouver ce rapport (en anglais) sur :
http://www.corporateeurope.org/docs/turning-on-the-taps.pdf
Nous pouvons en fournir une copie française (au format pdf), sur demande par courriel à notre adresse :
N’hésitez pas à utiliser ce rapport pour alarmer les élus politiques locaux et nationaux sur les risques encourus conseille Jan Willem Goudriann, de l'EPSU (1). Ce rapport est complémentaire du travail réalisé par EPSU sur les partenariats public/privé, leurs coûts et leurs échecs.
Un rapport a été publié, en effet, le 17 décembre 2008, par le « Corporate Europe Observatory » sur Véolia Environnement et ses activités de lobbying dans le secteur de l’eau :
« Ouvrir les robinets à Bruxelles ».
On peut trouver ce rapport (en anglais) sur :
http://www.corporateeurope.org/docs/turning-on-the-taps.pdf
Nous pouvons en fournir une copie française (au format pdf), sur demande par courriel à notre adresse :
agleau@gmail.com
Ce rapport montre que ce que Véolia prétend est éloigné de l’étendue et de la réalité de ses activités. Véolia a construit un réseau considérable d’influence, et promeut constamment une approche orientée vers le profit plutôt que vers la préservation des ressources. Elle met en avant d’énergétivores et coûteuses technologies de traitement comme réponses à la crise de l’eau et demande à la Commission européenne de se prononcer contre les partenariats public/public. Nous pensons que ce rapport fournit un aperçu des activités de cette grande société multinationale (et des autres!) qui cherchent à influencer l’ordre du jour européen. Dotées de moyens financiers conséquents, ces sociétés sont ainsi à même de déterminer les politiques, et promouvoir la libéralisation et la privatisation des services de l’eau au détriment des options d’une eau publique. N’hésitez pas à utiliser ce rapport pour alarmer les élus politiques locaux et nationaux sur les risques encourus conseille Jan Willem Goudriann, de l'EPSU (1). Ce rapport est complémentaire du travail réalisé par EPSU sur les partenariats public/privé, leurs coûts et leurs échecs.
(1) Fédération européenne des syndicats de service public.
www.epsu.org
www.epsu.org
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